Abbaye Saint Georges de Boscherville

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Info Telefon: +33-(0)2 35 32 10 82
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http://www.abbaye-saint-georges.com/...

Tous les jours sauf les 25 décembre et 1er janvier:
- Du 1er novembre au 31 mars : de 14h à 17h.
- Du 1er avril au 31 octobre : de 9h à 18h30. DB (c) VCMS-Munich-2008
Pour les groupes tous les jours de l'année sans restriction d'horaires, sur réservation préalable.

Si les monuments actuels, dont l'abbatiale romane du 12ème siècle, présentent un intérêt majeur, le site est aussi riche d'enseignements sur l'évolution architecturale des lieux de cultes depuis les temples antiques. Ici se succédèrent depuis le 1er siècle avant Jésus-Christ plusieurs édifices dédiés au culte païen puis au culte chrétien.
L'église abbatiale de style roman fut édifiée de 1113 à 1140 par des moines bénédictins originaires de Saint Evroult en Ouche. L'architecture de l'édifice est marquée par des choix esthétiques typiques de l'art roman normand.
En 1659, des moines mauristes prennent en charge l'entretien du domaine, assurent la restauration de l'abbaye et construisent, de 1690 à 1694, un imposant bâtiment monastique de style classique, attenant à l'église. La partie qui en subsiste, restaurée et ouverte au public, permet d'estimer la grandeur de la construction originale.
Les moines mauristes sont aussi à l'origine des jardins ''à la française'' aménagés à partir de 1680. En 1790, l'abbaye est supprimée par décret révolutionnaire.
Des fouilles archéologiques effectuées en 1992, complétées de recherches historiques, révèlent l'ampleur et l'importance des jardins crées par les moines mauristes. Ils sont aujourd'hui restaurés d'après des plans et documents d'archives du XVIIème siècle.
Un parcours découverte jalonné de panneaux qui retracent l'histoire du site vous est proposé.
Photographie © ATAR (Association Touristique de l'Abbaye Romane).
 

Écomusée de la Basse Seine

Fax.: +33-(0)2 35 37 39 70

Info Telefon: +33-(0)2 35 37 23 16
Besucher-Email: contact@pnr-seine-normande.com
http://www.pnr-seine-normande.com/...

L’Écomusée de la Basse Seine, crée en 1983, fédère les équipements muséographiques du Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande. Le Parc regroupe la plupart des communes riveraines de la Seine depuis les portes de Rouen jusqu’à l’Estuaire et déborde, au Nord, sur le Pays de Caux et sur le plateau du Roumois, au Sud.
Le Parc est dépositaire d’une collection ethnographique de plus de 11 000 objets, témoignages et documents sur l’artisanat rural, la vie quotidienne, les activités liées à la Seine et la proto-industrie en Haute-Normandie. Il est composé de huit musées ruraux présentant l’histoire des hommes qui ont vécu et façonné ce territoire, leurs gestes quotidiens et leurs savoir-faire au travers de quelques thèmes emblématiques:
- La Maison de la Pomme à Sainte-Opportune-la-Mare,
- le Four à Pain et la Maison du Sabotier à La- Haye-de-Routot,
- le Moulin de pierre à Hauville,
- la Maison des Métiers à Bourneville,
- le Monde merveilleux des abeilles à Le Mesnil sous Jumièges,
- la Maison du Lin à Routot et
- le Musée de la marine de Seine à Caudebec-en-Caux.
 

Musée Industriel de la Corderie Vallois

Fax.: +33-(0)2 35 74 58 45

Info Telefon: +33-(0)2 35 74 35 35
Besucher-Email: musees.departementaux@cg76.fr
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Musée départemental

Tous jours 13h30-18h00 (accueil de groupes possible aussi le matin de 10h à 12h sur rendez-vous uniquement).
Fermé les 1er janvier, 1er mai, 1er novembre, 11 novembre et 25 décembre.

Qualifiée de ''petite vallée de Manchester'' au 19ème siècle, la vallée du Cailly connut un essor économique prodigieux avec l'expansion de l'industrie cotonnière. La Corderie Vallois constitue un témoignage unique de l'évolution des activités liées aux techniques hydrauliques dans la vallée du Cailly du 15ème au 19ème siècle.
Créée en 1822 à l'emplacement d'un ancien moulin à papier datant du 16ème siècle, la corderie est également un bel exemple de réutilisation d'un site. L'entreprise ferme définitivement en 1978. Les bâtiments de la corderie, le système hydraulique avec la roue à aube et les machines sont exceptionnellement bien conservés et fonctionnent à nouveau pour montrer la fabrication des cordes câblées et tressées.
Photographie © Y. Deslandes/Musées Départementaux 76.